L’école a été le moteur de la réussite de Ndèye Fatou Touré, née à au centre du Sénégal à
Kaolack, en 1960, dans une famille d’enseignants,. « J’étais une jeune fille timide qui ne
faisait que travailler. Pendant les vacances, je n’avais d’autre activité que de rester à la
maison et lire, écouter de la musique… » A la faveur des affectations de son père, inspecteur
du primaire, elle a pu connaître très jeune, différentes régions du Sénégal.
En 79, Ndèye Fatou est entrée à l’université. « J’étais passionnée par le droit. Il m’arrivait même de rater des cours magistraux pendant deux jours pour assister à des procès criminels. Et j’en frémissais… »
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